Thème : Sorcières et Sortilèges

Le Salon BIBLIOMANIA, c’est une centaine d’exposants passionnés par le livre et le papier ancien dans sa plus grande diversité, qui représentent à eux tous, le temps d’un salon, une “véritable mémoire vivante de notre histoire”.

Un rendez-vous incontournable où on se laisse envouter par le charme de la découverte. Que l’on soit professionnel, collectionneur, sympathisant ou curieux, on aime se retrouver dans une ambiance fiévreuse et festive, pour échanger, assis ou debout, autour d’un verre ou d’un plat du terroir, chez un des nos sympathiques restaurateurs.

BiblioMania c’est le temple de la trace écrite, peinte, gravée ou dessinée…

Attendu chaque année par les amateurs de documents en tous genres et de papier nostalgia, c’est le rendez-vous du bibliophile à ne pas manquer.

Martine Magnin : Qu’importe le chemin

Et pourtant tout commençait si bien : « Il revenait de vacances, bronzé, les cheveux ensoleillés, les iris parsemés de paillettes d’or, quinze jours d’un périple africain exaltant, certainement plein de joies, d’émotions et de découvertes…


…Je l’ai fabriqué un jour de joie parfaite, il y a vingt-huit ans. Il pesait 3,250 kilos, il était tout doux et tout joli dans ses brassières en liberty…


… Aujourd’hui, les cellules de dégrisement ou d’isolement et les bureaux des commissariats de plusieurs arrondissements parisiens nous sont devenus familiers, nous avons arpenté hébétés et vaincus quatre des plus grands hôpitaux de la capitale, un centre psychiatrique de banlieue, plus quelques cliniques privées. Nous avons également épuisé cinq médecins et usé trois psy pourtant résistants.
Heureusement, une petite graine, puis une autre petite graine…
Qu’importe le chemin, on récolte toujours ce que l’on s’aime ! »
L’auteur Papivore et lectrice boulimique, Martine Magnin a toujours été captivée par ce qui se cachait sous les mots et les formules les plus banales. Passionnée de sémantique, de philosophie et de psychologie, et après avoir voué sa carrière à la communication sous toutes ses formes, elle se consacre aujourd’hui à l’écriture (la nuit) tout en menant une activité d’antiquaire (certains jours !)
Martine Magnin traite avec sensibilité et humour des sujets souvent intimes et graves sans jamais tomber dans l’amertume.
Elle partage sa vie entre sa Provence natale (avec délice) et Paris (avec parcimonie).

Agnès Géminet : « Mes Ethiopiques »

A l’occasion de la sortie de son album « Mes Ethiopiques », conversation illustrée entre Rimbaud, Pratt, Kessel et Monfreid sur les terres magiques d’Abyssinie, Agnès Géminet proposera une séance de dédicace lors du salon BiblioMania, le dimanche 23 octobre, de 14h à 17h sur le Stand 712 Hall C.

Texte de la 4ème de couverture :

Un voyage. Un pays. Un poème. Un rêve éveillé. Quatre hommes. Quatre parcours. Quatre regards. Une seule aventure.

J’ai trempé ma plume à l’encre de l’Ethiopie et lancé sur une page quelques tâches éparses, quelques traits croisés, quatre routes desquelles a peu à peu émergé une figure commune : l’aventure.
Teintée de poésie, de navigation, de trafics, de reportages ou encore de croquis, elle entraine ces quatre personnages sur les terres magiques d’Abyssinie. C’est là-bas que je suis partie les rejoindre.
Un périple à la rencontre de ces figures de proues enchanteresses de mon enfance, de ces explorateurs du rêve, dont les noms même dispensent des effluves de voyage rien qu’à les prononcer ; une marche à l’étoile des auteurs qui ont inspiré mes vagabondages ; L’Ethiopie, c’est l’encrier au creux duquel j’ai puisé la matière à réunir ensemble quatre des figures qui m’accompagnent partout sur les routes du globe. C’est le visage ridé où, plus qu’ailleurs, j’ai pu toucher du doigt les sillons qu’on tracé ces hommes fascinants ; voir se concrétiser sous mes yeux le décor de leurs aventures. Venir boire à la source de leur inspiration et collecter à leur poursuite les miettes intemporelles de l’âme de ce beau pays, desquelles j’ai tiré ce recueil.

Le Magazine du Gazetophile

Abondamment illustrée, la presse des XVIIIe et XIXe siècles jusqu’à celle de la Belle Époque ou des Années Folles, est le petits rapporteur de l’ambiance des modes, des villes, des tendances, et de l’actualité.
Souvent partiale, parfois satirique, elle traite les sujets avec dérision ou humour.

Le magazine Gazetophile a pour ambition de sortir de l’oubli les découvertes, les exploits, les frasques, la mode ou tout simplement les petits et grands événements d’un temps immémorial.

Les gravures, exclusivement reprises des illustrés d’origine, illustreront généreusement le magazine ; des dossiers thématiques, parfois sur plusieurs numéros, compléteront ces revues de presse ‘à l’ancienne’

Édito du numéro 4 – parution ocobre 2016

Les véhicules et transports de l’avenir…
Un bouleversement décisif vers la modernité ! Suivez les événements de ces belles époques d’innovations exceptionnelles, où la bravoure et l’enthousiasme des inventeurs sont les principales particularités de ces ingénieurs visionnaires.
Des essais de prototypes à la concrétisation des projets, découvrez la navigation aérienne, la première voiture à vapeur, le chemin de fer Métropolitain, le vélocipède suspendu ou le premier homme volant.
En ce dimanche 28 mai 1911, l’actualité aéronautique est marquée par le départ donné d’une grande compétition aérienne dont est à l’origine le quotidien « Le Petit Journal ». La course d’aéroplane Paris-Rome-Turin.
Modeste et laborieux, il est de cette race de savants dont la vie est entièrement consacrée aux progrès de la science. Gaston Tissandier est notre Homme de presse de ce numéro quatre. Collaborant assidûment au « Magasin Pittoresque », il a fondé en 1873 le journal « la Nature », une excellente revue de science illustrée, publication luxueuse qu’il rédige avec le concours des hautes personnalités de la science moderne.