Thème : La Science-Fiction

La science-fiction est un genre narratif, que l’on retrouve dans la littérature, la bande-dessinée et le cinéma. Elle raconte des fictions reposant sur des progrès scientifiques et techniques dans un contexte d’expérience ou de voyage.

Dès le Moyen Âge, un personnage légendaire, Merlin fait son apparition, dans le cycle arthurien des chevaliers de la Table Ronde.

Dans la littérature, on retrouve La Nouvelle Atlantide de Francis Bacon (1627), Frankenstein ou le Prométhée moderne par Mary Shelley (1818).

Le voyage est présent dans le roman d’anticipation, Paris au XXe siècle de Jules Verne (1860), Les Navigateurs de l’infini de J-H Rosny aîné (1925), La Machine à explorer le temps de George Wells (1895).

L’exploration du temps est une thématique exploitée dans Le Voyageur imprudent de René Barjavel (1944), La Patrouille du temps de Poul Anderson (1960).

Le cinéma s’empare du genre dès 1902 avec Le Voyage dans la Lune de Georges Méliès (1902), La Guerre des étoiles (1977) est un énorme succès de George Lucas.

La télévision conjugue le thème dans les séries télévisées Doctor Who (1963), Star Trek (1964) et Cosmos 1999.

Aux Etats-Unis les magazines et les revues spécialisées ont popularisé le thème avec les pulps, Weird Tales (1923), Amazing Stories (1926). En France, la revue s’appelle Météor (1950).

La Bande dessinée est fertile avec l’explosion des comics comme Buck Rogers et Flash Gordon (1934), Atome Kid et les super-héros du DC Comics ou de Marvel.

Les gravures et les illustrations, Cure d’air dans la montagne (1948) d’Albert Robida, La Destruction du Léviathan de Gustave Doré (1865). Le dessin avec les inventions de Léonard de Vinci, la peinture fantastique et apocalyptique de Jérôme Bosch et William Blake ont su reproduire un univers propice à l’imaginaire.

Prisunic : « Le beau au prix du laid »

L’ EXPO ÉVÉNEMENT – ESPACE CHAMPERRET – 75017 PARIS – DU 22 AU 25 NOVEMBRE 2018 A L’OCCASION DE LA 39ème ÉDITION DU SALON DU DESIGN VINTAGE ET CONTEMPORAIN

Retrouvez lors de cette édition, une magnifique exposition sur l’aventure Prisunic à travers le fond exceptionnel de documents graphiques (affiches, de posters thermoformés, photographies, catalogues…) qui appartient à la collection personnelle de la Librairie Michael Seksik.
On y verra également une sélection de pièces de mobilier toutes exceptionnelles, (prêtées par XXO) ainsi que des pièces emblématiques du mobilier de la marque qui, à la fin des années 60 a totalement révolutionné le commerce populaire en proposant des produits et une identité haut de gamme proche des courants artistiques de l’époque. Cette exposition démontre la grande puissance graphique et créative de Prisunic pendant cette période et toute l’inspiration que lui apportait les courants d’influence
comme Le Pop Art et le Push Pin Studio (Michael Glaser, Tom Wiesselman…) avec la volonté d’offrir « Le beau au prix du laid ».
Le mobilier Prisunic a été choisi par Edmonde Charles-Roux et Gaston Defferre pour meubler, dans son intégralité, l’appartement qu’ils avaient sur le vieux port à Marseille à la fin des années 70. En 2008, Edmonde Charles-Roux confie à Anne Bony (pour son livre « Prisunic et le Design » paru aux éditions Alternatives : « Les Objets élégants sont les seuls qui durent (…) Nous avons vécu 10 ans dans cet appartement (…) Le mobilier se détachait sur des murs blancs, c’est l’un des appartements que j’ai préféré

Serge Goldenberg : « Un Dalinien »

Serge est « un Dalinien » qui a eu la chance de rencontrer et côtoyer Dali, ce Prince de l’intelligence qui était bien plus qu’un peintre. Il travaille et expose les gravures du grand maître depuis près de 30 ans . Serge Goldenberg a eu la chance de rencontrer Salvador Dali. Nous sommes en 1979 et Dali est à Paris pour inaugurer l’Exposition que lui consacre le Centre Pompidou. Dali, qui visiblement le prend en sympathie, lui donne la possibilité d’organiser une expo d’estampes daliniennes dans
le salon Tuileries de l’hôtel Meurice où il se trouve.
Au cours de leurs échanges, Dali confie, qu’en fait, il était écrivain, bien plus que peintre, il ne peint que pour illustrer ses pensées.
Son projet d’organiser des expositions Dali à travers le monde vient de naitre.

Thibault Colon de Franciosi

Thibault Colon de Franciosi est un illustrateur autodidacte et indépendant, né en 1984.
Son monde à lui, ce sont les auteurs de comics américains.
Il est fan de Joe Madureira , de Michael Turner, pour ne citer qu’eux. Thibault copie leurs dessins pour se faire la main et s’en inspire.
Après une année d’enseignement académique il quitte son Sud-Ouest natal pour rejoindre la capitale. Il fait un an de classe préparatoire à l’école d’Art d’Ivry-sur-Seine mais quand il veut s’inscrire en première année, il n’est pas accepté. Son style ne plait pas, pas assez conventionnel. Il s’accroche et veut s’affirmer.
Il profite d’un retour dans le sud de la France pour se former à différents logiciels de dessins, dont Photoshop. Aujourd’hui, il a acquis une parfaite maitrise technique dans ce domaine. Une fois inscrit à la Maison des Artistes il commence à décrocher des contrats pour diverses entreprises, il réalise flyers publicitaires, cartes de visites, affiches sur mesure, fresques murales et travaille avec Miss Tic !!
Thibault Colon de Franciosi est toujours à la recherche de nouveaux projets et de nouveaux défis. Il auto-édite plusieurs livres, Artbook pour les grands et Piti-Crok pour les enfants (Piti-Crok veut grandir trop vite et Piti-Crok contre les Miam’s). Il fait également des figurines de ses personnages, des goodies, des bandes-dessinées, etc.
Au travers de ses séries Femmes Animales et Femmes arbres, on reconnait un style qui s’affirme, la griffe du dessinateur devient peu à peu une signature.
Il parcoure la France et la Belgique pour dédicacer ses ouvrages et promouvoir son travail avec Johanna Zaïre, sa compagne.